La contribution de Bruno Fern est singulière, dans la mesure où il n’aborde pas de front la subversion, mais nous invite à une lecture "à double détente",  à l’écart de langage – à y perdre notre latin…
Sub
           = sous (moi jactant1  sans
           primes ni fonds d’investissement culturel mais avec
           version française dans le texte original en
           stance c’est-à-dire en se tenant dans un état + ou – stable une approche
           millimétrique des phénomènes s’impose d’elle-même
           	alterne le froid et le
           lime c’est beaucoup dire même en vers pros
           	jectifs aux entournures en
           	divisions prismatiques2 à frotter jusqu’à plus à
           	ordonner (si possible) au tout
           	venant à des expériences
            	aiguës bien qu’à travers le spectre du
           	conscient de ses limites strictement personnelles et pourtant
           	odorantes aux alentours vu les reliefs, la crasse et les cochonneries3 où
           	hissant son membre finit par le lâcher
           	ito facto c’est donc un écart de langage)
1. T. Corbière : Je parle sous moi.
2. S. Mallarmé, Préface au Coup de dés.
3. P. Boutibonnes, La lumière offusquée / De l’ombre.